L'envie d'être bien

Mettez les axiolitiques au placard, gardez au pres de vous de lhuile essentielle de lavande.

Quand vous sentez une angoisse monter, mettez 1 goutte dhuile essentielle sur votre plexus en massage avec de lhuile dargan par exemple.

En 10 minutes vos pensées seront plus gaies. Simple et naturelle, cela marche à tous les coups.

L'homéopathie marche bien aussi ( gelsenium 9ch)

Enfin la respiaration arrête la montée de panique. 3 respirations abdominales lentes. Inspiration en 10 secondes, blocage 5 secondes, et expirations en 10 secondes.  Ne surtout pas respirer par le haut du corps, car cela crée lhyperventilation et la surexcitation de letat nerveux.

Le package " méditation et sport" semblent être le meilleur moyen miracle et naturel quotidien le matin pour éviter toute angoisse dans la journée.

L'alimentation aussi a un impact sur nos nerfs. J'en ferai un article spécial.

Du jour ou je me suis dit " ok tu nes pas bien la, tu sens langoisse venir et bien laisse la venir"....elle nest jamais revenue...
Accepter nos emotions, nos etats, c'est s'en separer.
J'ai attendu 17 ans pour comprendre cela. Ne pas essayer de vaincre à tout prix l'angoisse mais juste fermer les yeux, etre en pleine conscience de ce que l'on ressent, et le cueillir.

La méditation décline cela, c'est prouvé scientifiqiement..

En 2014, pour ne pas transgerer mes angoisses aux enfants, comme ma mère a pu faire avec moi, j'ai mis les bouchées double et jai decide te tener lhypnose pour revenir a ces traumatismes oua ces moments ou mon cerbeau a fait des liens qui ont perturbé ma vision des choses pour le reste de ma vie.

Depuis mes séances, je n'ai pas fait une seule attaque de panique. j'ai pleuré en sortant de la séance en me disant " pourquoi j'ai attendu de souffrir aussi longtemps? "

Il parait que l'on est pret à guerir qu'a un certain age. J'aurai pu faire de lhypnose il y a 10 ans et cela naurait pas marché.

L'hypnose permet de casser les liens avec des douleurs du passé,consientes ou inconscientes. C'est passionant.

A coté de ca, il faut quand meme continuer a accepter qu'on peut avoir des angoisser. Lacceptation est le mot miracle

Le psychiatre te fera revenir sur ton enfance.... il te fera parler et te demandera de poser des questions à tes parents " que s'est il passé entre 0 et 5 ans pour avoir declarer une émotivité si grande"....

Tu verras alors qu'effectivement tu as un terrain anxieux car une mère anxieuse à cette époque de ta jeunesse. L'enfant de 0à 5 ans capte toutes les émotions de sa mère.

Ma mère a perdu son père, sa mère et sa belle mère dans une période de 3 ans. J'étais petite, elle a essayé de me cacher sa peine surement, et ses angoisses, ses crises, mais je captais tout. Et j'ai décidé de le ressortir au moment de l'adolescence quand moi aussi je devenais une femme et que je pouvais devenir mère quelque part, car ma 1ère crise est venue le jour de règles très abondantes.

Tu comprends alors qu'il y un terrain émotif fort...

Après il te demande si tu as eu des experiences "traumatiques" dans ta vie.

Là je réponds un malaise a 14 ans, une baisse de tension ou je suis tombee dans les pommes et ou ma mere a eu peur parlant de mort paniquee.

Les différents entretiens parlent alors du rejet de la féminité, puisque la femme symbolise le malaise ( les règles...) et aussi langoisse par la mère...Cela explique pourquoi je suis un peu " garçon manqué" ... Et que j'agis un peu comme un garçon.
Cela explique aussi ma relation avec les garçons...

Tout cela donne des explications mais finalement ne guérit pas les paniques. elles sont toujours la.

En 15 ans, j'en ai vu du monde...

Quand vous avez des troubles de panique, clairement on vous trouve " capricieux, fainéant, idealiste, ou excessif" ...Bref on ne vous comprend pas.

Toutes ces années ou je me suis sentie incomprise et ou des que je commencais a en parler on ma traité de depressive, bipolaire ou autre therme barbare de psychiatrie...

Or, les troubles de paniques n'ont rien à voir avec tout cela.
Cela peut venir d'un traumatisme précis. Que le subconscient gère mal et digére à travers ces troubles

Cela peut être un terrain anxieux qui debarque au moment de l'adolescence , moment de révélation identitaire et d'acceptation de la femme que l'on est

Une nuit au printemps de mes 14 ans, je me suis réveillée en panique, le coeur chamboulé, palpitant à 200 à l'heure, toute perdue, pensant à une mort imminente. J'avais l'impression de devenir folle, j'ai révéillé mes parents... C'était le début des paniques et le 1er jour du reste de ma vie.

En effet, d'un quotidien innocent, joyeux et sans crainte, je suis passée dans l'univers des peurs, des angoisses, des évitements. J'ai grandi plus vite que les autres, ayant une conscience plus forte du précieux de la vie. Quand je sens la mort proche dans ces moments de folie passagère, je suis encore plus vivante les jours suivants, voulant mordre la vie à pleine dents pour ne manquer aucune minute.

C'est surement pour cette raison et cet etat anxieux que j'ai pu devenir excessive dans mes comporterments. Je voulais vivre 1000 vies dans une seule vie. Ne pouvant me contenter d'un seul travail en une année ou encore d'un seul petit copain, ou encore d'un seul pays à voyager. Il me fallait toujours +, découvrir toujours +, ne jamais rien louper...

Les paniques n'étaient pas régulières mais elles ont handicapé ma vie, et surtout m'ont influencé dans décisions fortes.

Exemples de conséquences de cet état anxieux sur mon quotidien depuis 15 ans

1) J'ai eu beaucoup d'histoires de coeur car je ne voulais jamais rester seules et que je voulais connaitre un maximum d'hommes pour être certaine d'avoir bien profité de la vie ( exces, par peur de la mort soudaine)

2) Je n'ai pas fait d'année ERASMUS en école de commerce par peur de crise d'angoisse à l'étranger, seule sans écoute.

3)  J'ai trop souvent Changé de travail par ennui et j'ai jamais trouvé ce qu'il me fallait pensant toujours à de meilleures opportunités

4) Je n'ai pas saisi une opportunité de travail à San Francisco par peur de prendre l'avion seule et de faire une panique dans l'avion. J'ai clairement mis ma carrière de côté ce jour là, à cause de mon état anxieux. ( dur à accepter ça )

6) Je ne peux plus supporter la solitude par la peur du malaise permanent

7) Je ne plus prendre le métro, la voiture et l'autoroute, peur de rester coincée, sans rien pouvoir faire.

8) Je maîtrise ma quantité d'alcool avalé et m'interdis le café ou le thé pour ne pas avoir de palpitation cardiaque inconfortable

9) J'ai peur dès que mon coeur s'emballe en faisant du sport, du coup j'ai arrêté d'année en année. 

Définition sur google  ...

" Le coming out, contraction de l'expression coming out of the closet, ou sortir du placard qui désigne principalement l'annonce volontaire d'une identité de genre.

Mon identité à vous affirmer aujourd'hui est la suivante:

Je suis anxieuse ...

Je viens d'apprendre, 17 ans après ma 1ère crise, que pour guérir, il faut tout d'abord l'accepter. Pour l'accepter, il faut ne pas mentir sur ce que l'on est, ce que l'on vit, et le partager, sans avoir honte.

Alors j'ai décidé d'écrire pour vous raconter mon histoire , par besoin et aussi par justification.

Outre mon histoire, je vous ferai part d'astuces, de découvertes, sur la santé, l'alimentation, la gestion d'émotions que j'ai pu approfondir pendant toutes ces années de questionnement.